Le Parc du Futuroscope est un parc à thèmes dont les attractions sont basées sur le multimédia, les technologies cinématographiques, audiovisuelles, robotiques du futur. Il est situé dans le département de la Vienne, à 10 kilomètres au nord de Poitiers, sur les communes de Chasseneuil-du-Poitou et Jaunay-Clan. Il est entouré d'un technopôle implanté sur la commune de Chasseneuil-du-Poitou.
La fréquentation du parc s'établit à 1,61 million de visiteurs en 2008[1], et à 35 millions depuis son ouverture en 1987 (2e parc à thème de France en termes de fréquentation depuis l'ouverture, 18ème européen) [2]). Le Parc emploie environ 600 personnes équivalent temps plein. L'ancien emblème du parc était le Pavillon du Futuroscope, une sphère posée sur un prisme droit. Le logo actuel est le Kinémax (un autre pavillon), paré de multiples couleurs et stylisé comme une fleur à cinq pétales, symbolisant le futur, l'image, la sensation, l'émotion et la connaissance.
René Monory, président du Conseil général de la Vienne, imagine au début des années 1980 une cité du futur. Le but de ce projet et de « créer les conditions les plus favorables au développement d'un département rural en perte de vitesse ». Ce projet auquel peu de personnes croyaient au départ a néanmoins abouti avec succès au site du Futuroscope que l'on connait actuellement et qui ne cesse de grandir aujourd'hui, vingt ans après sa naissance.
Le slogan que l'on retrouve principalement dans les publicités à la télévision ou à la radio est "Faites vous plaisir, osez de nouvelles expériences !"
Le terme "expérience" est employé depuis 2007 pour désigner chaque attraction du Parc. Ce terme évoque l'ensemble des connaissances ou émotions procurées par la sollicitation des sens de l'être humain, appuyées par le côté technologique et parfois interactif des spectacles du parc.
Voici les attractions présentes sur le programme 2009, classées suivant leur numérotation :
1. Expédition Nil Bleu (Kinémax) : Film Imax
25 min
2. La Citadelle du Vertige (360°) : Parcours-spectacle composé d'illusions d'optiques 5 min
3. La Gyrotour : 5 min
4. Les Ailes du Courage (Pavillon de la Communication) : Film 3D
40 min
5. Sous les Mers du Monde 3D (Solido) : Film Imax, 3D, écran hémisphérique
25 min
6. Star du Futur ! (Images Studio) : Dark ride 15 min
7. Les Yeux Grands Fermés (Pavillon de la Créativité) : Parcours sensoriel dans le noir 20 min
8. Danse avec les Robots (Pavillon des Robots) : Robocoaster, 5 min
9. Dinosaures (Omnimax) : Film Imax, écran hémisphérique,
20 min
10. Les Astromouches (Imax 3D) Films Imax, 3D 35 min
11. Le Meilleur du Dynamique (Dynamique 2) (5 films en alternance) : Films dynamiques
5 min
12. Voyageurs du Ciel et de la Mer (Tapis Magique) : Film Imax (deux écrans)
16 min
13. Chocs Cosmiques (Aquascope) : Film, écran hémisphérique type planétarium
23 min
14. La Vienne Dynamique + d'Effets (Pavillon de la Vienne) : Film dynamique avec effets sensoriels
12 min
15. Les Animaux du Futur : Dark ride interactif en réalité augmentée 7 min (ouverture le 5 avril 2008 et nouvelle version le 4 avril 2009)
16. ÉcoDingo (Dynamique 1) : Film dynamique,
5 min
18. La Cité du Numérique (Pavillon du Futuroscope) : Jeux vidéos, animations robotiques Accès libre
19. Le Monde des Enfants : Jeux en plein air Accès libre
20. Cyber Avenue : Jeux vidéos d'arcade Accès libre
21. Le Mystère de la Note Bleue (Lac aux Images) : Spectacle nocturne en plein air 25 min
22. Magic Show (Imagic) : Spectacle de magie 25 min (en haute saison et vacances scolaires)
(?). Arthur, l'aventure 4D : Cinéma dynamique en Imax 3D, sur écran hémisphérique, avec effets sensoriels, film de Luc Besson inspiré des aventures du film Arthur et les Minimoys. (Remplace Le Défi d'Atlantis, ouverture prévue en décembre 2009) 5 min
Les Épices du Futuroscope sont des animations ou expositions extérieures, en accès libre.
Le terme "épices" a été créé en 2008 pour dissocier clairement ces animations du reste des attractions à proprement parler, certaines portaient un numéro spécifique jusqu'alors.
Les pavillons du Futuroscope sont signés par l'architecte Denis Laming. Ces bâtiments sont principalement composés de métal, de verre semi-réfléchissant, d'alucobond, matériaux modernes. L'emploi de formes géométriques (sphère, cube, cylindre ...) ou minérales (goutte d'eau, cristal ...) donne aux pavillons un style à la fois moderne et intemporel, comme de véritables œuvres d'art que l'œil aime observer.
L'emploi des noms des pavillons n'est presque plus utilisé publiquement depuis 2001, au profit du nom du film ou de l'expérience qu'ils contiennent.
Voici la liste des années d'ouverture des principaux bâtiments :
Année | Pavillon | Commentaires |
---|---|---|
1987 | Pavillon du Futuroscope, Kinémax | |
1988 | Dynamique 1, Pavillon de la Communication* | *(bâti en trois phases, achevé en 1989) |
1989 | Cinéma 360°*, Cinéma en Relief** | *(fermé en 2007, rouvert en 2008 pour La Citadelle du Vertige) **(détruit en 2005) |
1990 | Gyrotour, Omnimax* | *(salle ouverte en 1990, cube construit en 1991) |
1991 | Cinéautomate* | *(fermé depuis 2003) |
1992 | Tapis Magique | |
1993 | Solido | |
1994 | Pavillon de la Vienne, Aquascope, Dynamique 2 | |
1995 | Images Studio | |
1996 | Imax 3D | |
2000 | Imax 3D Dynamique, Gare TGV-Futuroscope | |
2002 | Cosmoscope* | *(extension et reconversion de l'Aquascope) |
2006 | Pavillon des Robots* | *(emplacement de l'ex-Cinéma en Relief) |
2008 | Les Animaux du Futur* |
Sous l'impulsion du conseil général de la Vienne, s'est développée sur 200 hectares autour du parc une technopole, organisée en 5 téléports, en construction permanente. Plus de 160 entreprises sont installées sur le site pour une surface de plus de 150 000 m² de bureaux. En 2006, la technopole a construit en plus 25 000 m² de bureaux pouvant accueillir tout types d'entreprises[3]. Un parc hôtelier propose 2 000 chambres allant de une à quatre étoiles[4]. La Technopole a attiré environ 3 000 étudiants[5] et un peu plus de 700 chercheurs qui travaillent en laboratoire sur les études aérodynamiques, les combustions, la mécanique et la physique des matériaux, mais aussi dans les domaines de l'aéronautique, des biomécaniques et des nouvelles technologies[6]. La technopole du Futuroscope possède également une cinquantaine de salles de réunion de toutes capacités en plus du Palais des congrès de 8 000 m²[7].
Le site comprend entre autres les locaux du Cned, le Lycée pilote innovant (LPI) de Jaunay-Clan), une formation en Intelligence Economique et une en Communication à l'ICOMTEC, une antenne de l'ESCEM, une formation de la faculté de droit de Poitiers (le Magistère en droit des TIC), une partie de la faculté des sciences de Poitiers (le SP2MI) et l'ENSMA depuis 1993), l'IAAT, un Palais des Congrès (1995) remplaçant l'ancien auparavant au sein du Parc, une antenne du CNASEA, le centre d'appel de Carglass, les directions d'Aréas, prochainement de ZTE, une pépinière du Centre d'Entreprises et d'Innovation de la Vienne ...
Année | Visiteurs
(en millions) |
---|---|
1987 | 0,225 |
1988 | 0,55 |
1989 | 0,75 |
1990 | 0,9 |
1991 | 1,0 |
1992 | 1,3 |
1993 | 1,9 |
1994 | 2,5 |
1995 | 2,8 |
1996 | 2,9 |
1997 | 2,8 |
1998 | 2,65 |
1999 | 2,35 |
2000 | 2,3 |
2001 | 1,95 |
2002 | 1,6 |
2003 | 1,16 |
2004 | 1,355 |
2005 | 1,435 |
2006 | 1,48 |
2007 | 1,57 |
2008 | 1,61[1] |
Le Parc du Futuroscope fut annoncé comme un parc tourné vers le futur et proposant des films toujours plus novateurs et régulièrement renouvelés dans un contexte technologique toujours plus avancé. Le but avoué était d'en prendre plein les yeux et de ressentir un maximum de sensations fortes. Les débuts sont en effet très prometteurs et les visiteurs sont au rendez-vous, alors que le parc étend chaque saison son calendrier d'ouverture jusqu'à rester ouvert toute l'année à partir de 1994. Le nombre de visiteurs augmente progressivement, passant de 255 000 visiteurs à son ouverture en 1987 jusqu'à 1 000 000 de visiteurs en 1991. Le parc atteint même en 1997, année de son 10e anniversaire, la barre des 2 900 000 visiteurs.
Mais à partir de 1998, le parc connaît un lent déclin conduisant à des pertes en 2001 de l'ordre de 7,6 millions d'euros. Revendu au Groupe Amaury en mars 2000, le parc rebaptisé Planète Futuroscope passe tout près de la faillite en 2002. Pour expliquer ces difficultés, on invoque un manque de renouvellement de ses attractions. Le Parc est alors réintégré dans le domaine public en décembre 2002 sous la forme d'une société d'économie mixte locale (SEML). Dominique Hummel prend la direction du parc et fixe une politique de développement de nouveaux projets ambitieux. Le parc vise alors les 2 millions de visiteurs pour 2002, l'objectif est manqué avec 1,3 million de visites, en raison du retour d'une longue période de fermeture hivernale.
Le Futuroscope renouvelle huit de ces attractions en 2003, et commence à diversifier son offre vers des contenus plus interactifs (dont la Cité du Numérique). En 2004, une politique tarifaire offensive est mise en place avec une réduction des prix d'entrée pour les jeunes. Cependant, le parc ne reçoit que 1,43 million de visiteurs en 2005. Il a annoncé un chiffre d'affaires de 59 millions d'euros, en hausse de 10 % et consacre à la communication un budget équivalent à 10 % de ce chiffre d'affaires. Cet investissement permet de dynamiser le parc et d'attirer les visiteurs d'une année sur l'autre. Après avoir chuté à 40% il y a quelques années, le taux de "revisites" est remonté à 60 %. En 2006, le parc ouvre ses portes pour la première fois sur le thème en vogue des robots avec des attractions comme Danse avec les Robots en accueillant plus d'1,4 million de visiteurs, soit un niveau légèrement supérieur à 2005.
En février 2007, la Cour des Comptes a consacré une partie[8] de son rapport annuel au "dossier Futuroscope" et a dressé un premier bilan officiel au sujet du parc d'attractions. Il apparait notamment que plus de 240 millions d'euros de fonds publics ont été consacrés à cette initiative du conseil général de la Vienne et que l'avenir du Parc était particulièrement incertain.
Ce rapport reprend de manière synthétique deux rapports d'observations définitives portant l'un sur la gestion de la société d'économie mixte locale exploitant le parc du Futuroscope et l'autre sur le département de la Vienne, rendus public début 2007.
Antérieurement, la chambre régionale des comptes avait déjà examiné certains aspects liés au Futuroscope :
Mais l'augmentation de la fréquentation en 2007 (1,57 million de visiteurs) et 2008 (1,61 million de visiteurs) permet enfin au parc de renouer avec les bénéfices. La saison 2009 semble suivre cette tendance, marquée par une hausse de 6 à 7 % de la fréquentation en février et mars, et de près de 15 % durant les vacances de Pâques[9] et les week-ends du mois de mai.
Aujourd'hui, le parc réalise 10 % de ses ventes sur internet[10]. Sa clientèle est à près de 90 % française, mais il accueille également une clientèle étrangère (12 à 15 % de la fréquentation totale), principalement espagnole (3 millionième visiteur espagnol accueilli en le 6 juin 2009[11]), puis britannique et belge, en hausse grâce aux vols low-cost (aéroport de Poitiers-Biard). Près 20 % des visiteurs sont des groupes scolaires, plus de 5,5 millions depuis 1987 (proportion en légère baisse en 2008 et 2009). Le Parc réalise également 5 % de son chiffre d'affaires avec une clientèle d'affaires, notamment en janvier, lorsque le parc est fermé au public.
Danse avec les Robots est une attraction du Parc du Futuroscope, s'inscrivant dans le thème de la saison 2006 du Parc, « Les robots font leur show ».
Depuis le 5 avril 2006, les visiteurs du Parc du Futuroscope peuvent se rendre dans le dernier des pavillons du Futuroscope, le nouveau Pavillon des Robots d'une superficie de 2000 m², pour se faire entraîner dans des danses vertigineuses et aériennes avec des robots, au rythme de la salsa, du rock 'n' roll, de la valse et du disco.
L'attraction Danse avec les robots est une salle de bal de 1265m², qui comprend 10 Robocoasters[1], des robots polyarticulés de 7 m de haut. Ces bras robotisés, qui comprennent chacun six articulations, sont fabriqués par la société allemande KUKA Roboter GmbH, le leader européen de la robotique industrielle. Ils sont capable de faire subir des accélérations de 3 G et de soulever une charge de 500 kilos[2].
Les visiteurs prennent place dans des nacelles à deux places montées au poignet des Robocoasters, qui les entraînent dans les airs au rythme de cinq chansons :
Ces cinq chansons sont diffusées en boucle pour toutes les personnes de la salle, accompagnant les robots pour une danse d'une durée d'1 minute 30 (le temps séparant chaque départ des 10 robots varie entre 3 minutes et 3 minutes 30). Cependant, trois niveaux de forces différentes sont à choisir préalablement par les occupants de chaque Robocoaster ; chaque chorégraphie effectuée par les robots étant différente d'une chanson à l'autre : il y a ainsi 15 chorégraphies différentes (3 niveaux * 5 chansons).
Les vidéos de danse réalisées par BCBG et chorégraphiées par Kamel Ouali et correspondant à chaque chanson, sont projetées sur un écran tubulaire de 33 m de long et de 3 m de diamètre, fixé au plafond de la salle de bal.
Lors de chaque danse, les robots marquent une pause afin d'effectuer une photo.
Une mezzanine donnant sur la salle de bal est en accès libre pour les visiteurs souhaitant assister au spectacle sans y participer, elle est accessible par la file de gauche (« Je regarde »), à l'entrée du pavillon.
Les Animaux du Futur est une attraction située au parc du Futuroscope, près de Poitiers.
L'attraction est un parcours scénique basé sur la technologie de la réalité augmentée. Elle a ouvert ses portes du 5 avril 2008 au 4 janvier 2009 pour sa première version, et rouvert le 4 avril 2009 dans une version améliorée[1].
Comme tous les autres pavillons du Futuroscope, le nouveau pavillon des Animaux du Futur a été créé par l'architecte français Denis Laming. Ce bâtiment se présente comme une arche de Noé du futur transportant les descendants des animaux d'aujourd'hui. La file d'attente extérieure présente une frise chronologique se déroulant de -200 millions d'années à + 200 millions d'années, avec des silhouettes métalliques évoquant l'évolution des espèces, illustrant des espèces disparues (amphibien, dinosaure, mammouth), présentes (homo sapiens) et hypothétiques dans le futur (caracoureur, tortunosaure, calamar géant des forêts)
L'attraction porte le n°15 dans la numérotation actuelle du Parc (plans de visites, signalétique).
Cependant, c'est le numéro 20 qui apparaît dans la publicité télé[2], réalisée fin 2007, avant un changement de la numérotation du Parc intervenu au début de la saison 2008.
Dans la première partie du pré-show (file d'attente intérieure), Jamy Gourmaud (animateur de l'émission C'est pas sorcier) apparait sur des écrans et accueille les visiteurs avant leur périple en présentant différentes espèces animales du futur, tel que le cuirasson, le flotteur des récifs, le cochonnet de monts et le fou-baleine.[3]
Dans la zone du post-show, après le parcours, Jamy Gourmaud apparait dans une autre vidéo, s'interrogeant sur le futur probable de l'être humain, grand absent du parcours.
Dans la version 2008, Jamy Gourmaud était aussi la voix du parcours, présentant les différents animaux à chaque scène. Depuis la nouvelle version ouverte en avril 2009, sa voix a été changée pour celle d'un autre narrateur, insistant davantage sur l'interaction avec les animaux par l'usage du dispositif interactif. (voir sections ci-dessous).
Pour voir les animaux et interagir avec eux, les visiteurs s'équipent d'une paire de jumelles de réalité augmentée, restituant une vue en relief, et d'un bracelet-capteur placé sur le dos de la main. Cet équipement, relié à un ordinateur et un logiciel, permet de filmer le décor et d'incruster virtuellement des animaux dans l'écran des jumelles. Avec le bracelet capteur, le visiteur peut interagir avec les animaux, il peut par exemple lancer une araignée à un baboukari ou se saisir de la poignée d'une cage virtuelle.
Pour pouvoir se déplacer entre les différentes salles, les visiteurs embarquent à bord de trains composés de 3 wagons de 4 personnes, soit 12 personnes par train. L'attraction comporte 6 trains circulant en boucle dans un parcours hexagonal. Chaque siège est équipé d'un système de réalité augmentée : une paire de jumelles, un bracelet capteur reliés à un ordinateur pour chaque personne.
Les décors du préshow, du parcours et du post-show (animatronics et éléments d'exposition) ont été imaginés et réalisés par Patrick Besenval et Jean-Marc Besenval de la société XLargo.
Le logiciel de réalité augmentée D'Fusion, réalisé par la société Total Immersion[4], installé sur les ordinateurs de l'attraction, analyse les images filmées par les jumelles, repère les coordonnées de position des jumelles et du bracelet-capteur, incruste les animaux dans l'image, et restitue les images fusionnées en temps réel dans les deux écrans OLED des jumelles.
Les différents animaux de l'attraction ont été imaginés par des scientifiques anglais, dans un docu-fiction intitulé The Future is Wild.
Voici une liste de tous les animaux présentés dans l'adaptation du Futuroscope.[5]
La file d'attente se compose de 3 éléments : Une série de 4 clips vidéo réalisés par Jean-Marc Besenval dans lesquels on voit Jamy Gourmaud dialoguer avec un petit personnage, le pod, et décrire 4 espèces d'animaux du futur :
Dans la première version en 2008, ces quatre animaux du futur étaient "naturalisés" et exposés dans une vitrine au centre du préshow. Ils ont été réalisés par Alain Dalis qui a travaillé dans de nombreux musées de la préhistoire.
Suite à la nouvelle réorganisation en 2009, cette vitrine a disparu. Deux animaux ont été déplacés dans les boutiques à l'entrée du Parc : le cuirasson dans la boutique Signes du Monde, le fou-baleine dans la boutique H2O.
En 2009, une prise de photocapture a été créée à l'emplacement de la vitrine.
Sur le site officiel de l'attraction[6], il est possible de télécharger un petit logiciel de réalité augmentée. Des animaux du futur en images de synthèses apparaissent virtuellement chez soi grâce à une webcam et quatre différentes silhouettes à imprimer.
La Gyrotour est une tour panoramique présente au Parc du Futuroscope de Poitiers.
La Gyrotour est une tour d'observation rotative, conçue par la société suisse Intamin. Cylindrique et en métal, de couleur blanche, d'une hauteur totale de 54 mètres. Une nacelle en forme de couronne, d'une capacité de 80 à 90 places, est hissée jusqu'à 45 mètres au dessus du sol le long du mât, au moyen de 20 câbles et de 2 contrepoids de 17 tonnes, tout en tournant dans le sens des aiguilles d'une montre grâce à des moteurs électriques.
En cinq minutes, la Gyrotour offre aux visiteurs un panorama complet et commenté sur le parc du Futuroscope, sa technopole. Les communes voisines de Jaunay-Clan et Chasseneuil-du-Poitou sont également visibles ainsi qu'une partie de Poitiers les jours de très beau temps, à 7 kilomètres au sud.
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![]() Vue sud-est |
![]() vue sud |